L’eau est un facteur de production important qu’il convient de valoriser au mieux. Avant de mettre en route l’irrigation, il faut établir de façon prévisionnelle la répartition de son quota d’eau sur les différentes cultures à irriguer afin de ne pas risquer de se retrouver démuni au plus chaud de l’été. Tout au long de la campagne d’irrigation, il convient de connaître l’évolution de la réserve en eau des parcelles par un bilan hydrique en tenant compte des besoins en eau de la culture et des apports naturels par les pluies ou par l'irrigation.
Conseil irrigation
Chaque semaine, soyez informé de la situation climatique, de l’évolution de l’état des réserves utile set des dates des irrigations conseillées par culture. Il s’agit d’un calcul de bilan hydrique pour trois types de sols de références et cinq cultures accompagné d’une interprétation.
Outils de pilotage
OPTIM3 : Définissez votre stratégie d’irrigation en amont de la campagne d’irrigation : calculer votre besoin en eau pour l’assolement de cette année afin d’anticiper les situations de restriction d’eau.
La fiche technique Optim3 est un support de calcul qui vous aide à répartir votre volume selon vos priorités et de les ajuster au besoin en cours de campagne.
Demandez-la auprès de votre conseiller de la chambre d’agriculture
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Afin de bien mener votre irrigation, quelques rappels de vigilance quant aux réglages de vos enrouleurs ou rampes d'irrigation.
Il est important de contrôler les réglages d'arrêt et de démarrage à proximité des routes et de vérifier que les butées d'arrêt fonctionnent bien pour ne pas inonder la route à proximité.
Au vu du Code de la Voirie Routière et du Code Civil, le dépôt de boue et l´arrosage sur la route constituent des "dangers temporaires". A ce titre, ils doivent être signalés.
Voire code de la voirie : Art. R.116-2 du Code de la Voirie Routière ».